Chronique cinématographique - suite - De Tanazareth.
Ce que Fu Chiang vit ce soir là au cours
de ces méditations n’eut pas été plus
inquiétant que cela si Fu Shi n’avait été
commandité en son absence par l’empereur
pour accompagner son propre fils en
campagne. Le Samouraï inquiet
se releva prestement après avoir allumé
quelques bâtons d’encens, puis disparut
dans l’ombre de son sanctuaire. Pendant
ce temps, sur le champ de bataille où Fu Shi
avait été chargé d’inhumer le corps des
guerriers tombés sous les coups de
Tanarazeth, avant que de rejoindre Hu Chi
Dong, le fils cadet de la famille Chu, dont la
taille dépassait en effet les deux mètres dix,
lequel était occupé sous l’ordre impérial, Ã
fouiller les villages avoisinants, Fu Chi
n’était pas au bout de sa peine, lorsqu’il découvrit
parmi l’amoncellement des corps, le
présage d’une maladie qui allait bouleverser le
cours de l’histoire de cette époque. En effet,
plusieurs jours durant, une peste sans
précédent se répandit jusqu’aux pieds
des murailles du palais de l’empereur,
à tel point préoccupante, que Hyong Shu
en personne ordonna une procession devant
les sanctuaires mérovingiens où
avaient été enterrés les dépouilles des guerriers
de Tanazareth…
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