Lentement...
Lentement…
Lentement vont les aiguilles du temps
Un grand soleil, tableau apaisant,
La mer, de son calme a ses élans,
Pareille à des sourires d’enfants.
Lentement nos amours se consument…
Des écumes guident ma plume,
Longtemps, pour la revoir dans la brume,
Rouge de désir, rouge, comme le feu de l’enclume…
Lentement, survivent tous les bonheurs,
Des folles passions, être admirateurs !
Déraison, force de vie, ce sentiment est menteur !
La passion demande un distributeur…
Lentement, le vent répète sa chanson,
Moi je chante à perdre la raison,
J’aime si fort mes passions, c’est une oraison…
Lentement, je les range sur un diapason.
Lilas9
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la poésie est le parfum de l'ame
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