En lisant ton poème, tout à la fin, j'ai pensé à ce président qui avait fait sienne cette maxime:
"Il faut laisser du temps au temps":
"Trois jours depuis, le petit attend
La réponse de sa mère
Sous les décombres et des pierres
Oui c’était hier
Le petit du cordon
Laissé au temps ."
Pardon de manquer de foi,mais nous en avons déjà trop laissé, du temps,et nous avons la mémoire courte. J'ai du mal à croire qu' 'ils referont le monde les enfants'.
Le temps presse, et Charles Aznavour, auteur de cette chanson, et à qui dieu a prêté longue vie, a raison de demander que l'on vienne en aide, de toute urgence, aux Irakiens!
Mon amitié
Dumnac