Dans cette dernière partie que voici :
"Le mâle aiguise son dard en attendant
Il pointe sa cible et attend
Le moment propice pour tirer à bout portant
La souveraine surprise de tant de sollicitude
Légère, prend ses distances, de l'altitude
C'est devenu pour elle une habitude
D'abandonner l'heureux élu à sa solitude ",
Je pensais au cheval et à la jument en forte chaleur et non à l'abeille . C'est dire que sans la première partie , on peut donner un autre sens au corpus qui a été pensé d'une manière bien intelligente et bien réfléchi.
Bravo Si Charef pour de si beau partage.
Sincères amitiés, Ahmed.
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A propos de moi
L'amour que je loue aux mots et au verbe me tente énormément. C'est la raison qui fait que je me trouve ici . Je navigue donc au gré de la circonstance à travers tous les domaines du savoir, une fois pour lire ce qui me semble beau...