J'ai enfin remarqué
Ce qui faisait ta beauté :
Ton allure sourissière,
Tes attitudes guerrières.
Ta douceur qui brille
Dans chacune de tes pupilles.
La beauté du ruisseau
Navigue dans tes mots.
La chaleur du soleil,
Dans tes bras m'émerveille.
L'air nouveaux que tu apportes
Lorsque je frappe à ta porte.
Les cieux et leurs nuages,
Dans ton doux et fin visage.
La profondeur de tes seins,
Qui veille à mon maintient.
La silhouette de tes cuisses
Qui petit à petit tisse
Celle de tes fesses ensoleillés
Et veille toujours à exciter.
Tes larmes si précieuses,
M'engouffre de choses périlleuse.
Enfin, le vacarme de ta voix
Adoucissant mon effroi.
Vermouth
PS : Il n'y a aucune faute à "sourissière", combiner une souricière et tu souris (ouais j'invente des mots!)