Je ne suis pas très doué,
Pour retranscrire mes hommages,
Mais pour te remercier,
Je vais noircir cette page,
Avec mes mots les plus fous,
Avec mes mots les plus tendres,
Tant, je suis sous le charme,
De ta tendresse immortelle.
Depuis, ce très beau jour où,
Ta voix grave se fit entendre,
Mon cœur versa des larmes,
D’admiration éternelle.
Sur cette plage sous juillet,
Où l’amour se fit menteur,
Coïncidence des regrets,
Ta Fanette troublait mes pleurs.
Puis, dans mes nuits de silence,
Tu chantais pour un public,
De vieux chinois, quant à moi,
Je rêvais de prendre un train.
Par la force et la puissance,
De tes mots romantiques,
Je surmontais mes émois,
Et Jeff souriait enfin.
Combien de sanglots coulèrent,
Dans les abymes de l’ennui ?
J’étais seul mais sans colère,
Car tu égayais mes nuits.
Vivre debout rien qu’une heure,
Tout en haut de ta colline,
J’aurais tant voulu connaitre,
Cette rage de vivre malgré tout.
Tu as guidé mes erreurs,
Vers des roses sans épines,
J’ai ouvert mes fenêtres,
Pour que l’amour soit à nous.
Les vieux amants s’aiment encore,
Malgré les orages du temps,
Je tremble de tout mon corps,
Les adultes sont ignorants.
Aujourd’hui, il nous reste,
Ton Å“uvre, ton souvenir,
Tes superbes poésies,
Tes pensées philosophiques.
Mais pour toi, destin funeste,
Toi qui brûlais de désir,
Je veux te redire merci,
Pour ta tendresse fantastique,
Ton chant flambe et résonne d’amour,
Mais alors, chanterais-tu toujours ?
L.P (
www.loikperrin.fr)