Trop long silence . . .
Trop long silence . . .
Amour d'une beauté exquise
Etonnée de paraître soumise
Tu es née à l'aube d'un clair matin
Tes élans m'interpellent sans fin.
Oh ! miroir bleuté qui irise
Ton visage que tiennent mes mains !
Droite sous ton ciel étoilé
Regardant notre firmament
Tu étincelles dans ton habit de lumière.
Reflet des profondeurs de l'océan
Ton charme invisible
Se noie dans le halo lunaire.
Je partage tes longs silences
Me déçoit ton éternelle absence
Je te dois cette reconnaissance :
Bienveillante tu t'égares en mes nuits.
Pascal
Le 21 janvier 2015.