L'étranger
Je te comprends en ta mélancolie
le mal de son pays nul ne peut en guérir !
Ton bon soleil, hélas ne pouvait te nourrir
il te fallait quitter la province jolie !
En ce début de siècle où naquit la folie.
Tu vis ton horizon lentement s'assombrir
les espoirs pour demain, tu les voyais mourir
et tu dit un matin (Adieu mon pays )
En laissant vingt ans de souvenirs !
Sans savoir tes demains, ignorant l'avenir !
Où trouver le bonheur ? La paix et l'espérance.
Passer une frontière et se fut la clarté.
Une famille, un nid, ton pays ( C'est la France )
L'amour d'un beau terroir et puis la liberté...!