Plume d'argent Inscrit le: 23/7/2011 De: |
"Sinbad le marin"(retour aprés un an d'absence) Ce soir, je transforme le lit en caravelle, et dans le voilier de ton regard, je me déplace comme une cométe dans le ciel, j'aperçois au loin l'ile mystérieuse à travers le brouillard, les draps deviennent alors d'immenses vagues, tes yeux rejettent des faisceaux lumineux comme un phare, et pendant que tu divague, mes matelots, balancent l'ancre et filet de pêche, puis se prépare un harpon , du haut de la falaise portugaise ,des rochers, quelques méduses gluantes ,des étoiles de mer accrochées sous le crépuscule l'aube des caresses ou l'aurore, Ne vois- tu donc pas arriver des pirates à la recherche d'un trésor? l'ancre jeté dans l'océan ,abyssale le mat de la sensibilité, Sinbad a son zénith a le vent en poupe, nargue Barbe rouge du haut de la proue, observe de son telescope office de loupe, les gaulois qui arrivent en chaloupe, des pieuvre du désir et leur tentacules des poulpes sinbad te fera voir à travers les écumes , l'horizon l'équateur ,voir la ligne maginaire, découvrir le monde animal ,des ours polaire aux bisons séparant les deux hémisphére traversant les tropique du capricorne, observant le soleil à son zénith, munit de sa carte au trésor, à la recherche du coffre fort, il a préparer sa pelle, prete a creuser en arrivant sur cet île sur cette belle matinéé, aucun vent, aucune tempête ne peut casse pas la mat, confirme que le talent d'explorateur des mots est inné le lit est un navire qui tangue, guidé par le gouvernail de nos langues, les vagues du lit des draps s'agitent, mais rien n'y fait !! si bien que Sinbad ,téméraire devant rien ne recule, ne craignant pas les pieuvres du désir éphémere et leur tentacules, j'ai jete l'ancre au fond, Alors sous le soleil levant du plaisir intime, laisse Sinbad te faire découvrir son glorieux passé maritime. laisse Sinbad dirigait le gouvernail, matelot de la libido faire son travail
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