A souffrir de leurs maux, partant vers les ténèbres,
Mes poèmes n’étaient que des chansons funèbres !
Je glissais, doucement, vers le froid de la nuit
Où naît cette impuissance à voir un paysage ;
Et mes yeux se fixaient dans le jardin sauvage
Où ne vit aucun fruit !
Ce souffle vers les ténèbres,c'est celui de tous ceux
qui se retrouvent le soir avec leurs doutes et leurs espoirs...
Merci vraiment pour ce beau moment de lecture
Amitié Francine