Chaque vague qui se brise est un stimuli
Pour la nature humaine aux amours divisées
Regroupant en leur cœur les nuits apprivoisées
A dompter le courant qui dessert le fini.
Chaque vague qui se brise est métamorphose
De l'obstacle qui se débat à partir du récif
Où dans le gouvernail se fait l'art narratif
A esquiver la côte aux tourments en symbiose.
Il y a les regards qui perdent l'infini
Et les gagnants au bord du néant qui survit
A l'endroit de la mer qui s'enduit de la lettre.
Il y a les visions qui font la tentation
Et l'esquif qui maintient l'équipage allant naître
En attendant l'orage allié de prestation.
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En vérité l'art est enfermé dans la nature; celui qui peut l'en extraire, celui-là est un maître.
Albrecht Durer
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