Le mal de vivre
Il est présent, comme dans un songe,
Vil, il m’obsède et m’emprisonne,
Dans un mal être qui me ronge,
Mais c’est déjà le glas qui sonne.
Comment te rejoindre ma Vie,
Dans ce dédale, sans issue,
Je t’appelle en vain, chaque nuit,
Dans une tristesse éperdue.
Lorsque le jour enfin se lève,
Ma solitude me rassure,
En me révélant tous mes rêves,
Tous mes espoirs sous son augure.
Dans un doux cocon naturel,
Tout mon corps s’étire et se fige,
Anticonformiste et rebelle,
Il se dresse dans un vertige.
Carolina, Mars 2015.
Merci de votre lecture, bonne journée et à bientôt
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Faîtes que vos rêves dévorent votre vie, avant que votre vie ne dévore vos rêves !