Les heures ne prennent plus leur essor
Aux clochers des églises
Et aux carillons des salons
Où dans l’ombre s’endorment
De paisibles vieillards.
Les heures des jours nouveaux
Ont perdu cette pérennité
Qui jadis s’affichait, sereine,
Aux cadrans émaillés
Rythmant nos jeux d’enfants.
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Toutes les choses ont leur mystère, et la poésie, c'est le mystère des choses !
(Frederico GARCÍA LORCA)