Un rêve qui s'enfuit . . .
Un rêve qui s'enfuit . . .
J'ai joué sur des airs aux notes électriques.
Leurs souffles clairvoyants s'amplifient dans ma nuit
En un écho lointain tel un chant nostalgique.
Me rappelleront-ils un rêve qui s'enfuit.
Pourrais-je t'appeler ? Ta voix s'est endormie
Sans l'ombre d'une trace au pas de mon ennui.
Comment la retrouver ? Dessine dans ma vie
Ton empreinte géante en mon coeur ébloui.
Pourra-t-elle éclairer en des flots d'espérance
L'océan de mes peurs où se noient tous mes maux ?
J'aperçois ton image au regard d'innocence
Qui berce ma souffrance en caresse de mots.
Le 7 avril 2015.
Aux vagues du néant jaillira ta lumière
Emportant nos secrets dans les rouleaux du temps.
Elle trace une lame, écume de mystère
En flammes de désir, deux corps tourbillonnants.
Pascal