Comment ignorer qu’à cette heure, Partout, en cet avide et triste monde, Les hommes sont victimes de la peur, Et les enfants ne font plus la ronde…
Mais comment ne pas penser d’abord à toi ! Puisque de mon monde, tu es la seule loi…
Je mordille ta bouche de couleur vermeil, Puis tes seins ronds, d’ou jaillit ton cœur, Tes mains ruisselantes de caresses-soleil, Jouent sur mon corps avide de douceur.