Comme l’évadé
Qui fuit sa geôle
Un temps pourri
Pour une autre taule
De porte en porte
Il est à l’aise
Quand il emporte
Un être sur chaise
De ce pas
Dans la nature
Lui qui n’en n’a pas
Et ça dure
Avec son âme
Pourtant si seule
Elle tourne une meule
Sans gammes
Son cœur à l’écoute
Il soupire
Les comprends toutes
Ces ires
Quand il pleut
En les yeux
De ce vieux
Ou vieille ,il ne peut ;;;;
Quand s’en va
Cet amour
Il reste là
A ses contours
O! blessé
Lève ta tête baissée
Il ne faut se rabaisser
De nature tout séchait
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