La prostitution de l’esprit
Quand sur ces dos on s’enrichit
D’une future parole
D’un baril de pétrole
Et qui ne sent, ne cajole
Oh mes petits

Et s’inversent les rôles
Tout en vous inventant les pôles
Ces têtes vides
Aux ventres avides
Qui se prostituent pour une babiole
Je cris au vol

Quand il achète cet esprit
Et il vous guide
Le dit, lucide
Est-ce que je me tais ou tu le suis

Quand il te parle du viol
Assez tu lui dis , j’ai ras le bol
J’en ai beaucoup vu depuis
Je sais comment tu le décris
Cesse tes petites bricoles
Le temps est aux mégapoles


Je cherche ton érudit
Pour m’amener dans ce futur
Afin de vaincre ta variole ,
Et sa voisine ta rougeole
Ainsi sain je lis ta littérature
Si on ne te sert la manne
Qui réduit ta dynamique bestiole
Et ta pitié pour ce spermiole
Qui rêve des eaux de la Guyane
Et prête sermon aux barbares
Eux qui n’ont pas fait d’école
Mais ils ont dit non au vol
Un petit éloge à cette mémoire

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Lire, c’est rencontrer du monde, au plus profond de soi.

Sous toutes ses formes : abominable ! Merci de le rappeler par ce poème.

Claude

merci Sympatique pour ce partage
bon dimanche
Denise

Poème qui a la tournure d'un slam.
Richards.