Et compter les étoiles
Une, deux et trois
La lune émet ce voile
A l’ombre, elle les voit
Puis joliment s’étale
En face, de l’infortune
Dans cet état létal
N’apparait, aucune
Diffus ses fils dorés
Sublime à l’aurore
Le soleil, à l’orée
La lune fait le mort
Les étoiles se retirent
Attendent, la nuit
Toutes, vœux et désirs
Que la lune ne sourit
En face de l’astral
Nous sommes émerveillés
La nature nous régale
Il faut rester, éveillé
Du matin au soir
Au clair, le voir
Le cycle va s’échoir
Tôt ou tard