Sur les routes défoncées
Les larmes ont coulées
Des nuages trop épais
Formant des flaques polluées
Toutes pleines d'acidité
Allèrent vers les maisons
Tâches liquides engorgées
Se gavant de goudron
Dans les chemins boueux
Les végétaux peureux
Se cachaient sous la terre
C’était une misère
Pour tous les potagers
De la pauvre cité
Car même les pissenlits
Ne trouvaient plus leur nid
Ce changement de climat
Provoquait désarroi
Entre nos quatre saisons
Plus de communication
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Geneviève