Ô âme errante
au creux de la longue nuit
comme tu remontes
le temps qui s'en va depuis

mourir en soupirs
dans le profond de ton cœur
et qui se voit bâtir
au présent le mur, humeur

avec des douleurs
de nuit, qui ne sommeillent
et elles effleurent
l’âme toujours en éveil

mais rien n'est guéri
au fil du temps et sequelles
et tout se détruit ;;
divine,battante de l'aile

tout, tu reconstruis
belle âme des moments durs
tout ,tout tu mûris
en dressant la belle allure

pour ton pauvre cœur
qui ,tu ne veux , voir mourir
au temps de ces fleurs
qui viennent de s'épanouir

sous ce rai ,lueur
envoyée au beau ,ce moment
et que de couleurs
en se fiant ,au plus offrant