Aux grands pleurs du ciel
Dieu absent, effrayé
et peut-être yeux d’enfant qui se taisent.
Un oiseau libertin
dérobe ses divins secrets,
l’hypothèse rumeur qui s’esquisse
et révèle le dernier de ses rêves.
- J’aurais aimé Dieu tempête sage,
souverain sous sa peau de légende,
soir rêveur ou poème lumière
qui ose respirer à plein poumons
comme le chant des fougères.
Et surtout vieil Homère
sans sa gorge serrée.
Poème extrait de mon recueil HYPOCRAS
ISBN:978-960-92580-3-6 (Athènes -Grèce)