Le vent souffle fort
Pour faire voler la feuille
Vers son nouveau port.
Le fond d’un jardin
La surveille et puis l'accueille
D'un air anodin.
Moi, qui tout observe,
Je vois que le coin s’endeuille,
Et j’en perds ma verve.
Lors je pense aux fleurs
Quand tout seul je me recueille
Sur l’aire des pleurs.
Et le chrysanthème
S’attend lors que je le cueille
Pour l’usuel thème.