On a eu HaĂŻti,
Qui nous a fait trembler.
Parfois mĂŞme pleurer,
A cause d’un tsunami.
Juste après, le Chili
Quand la terre a grondé.
La douleur et les cris,
Qu’on ne peut apaiser.
Là j’allume la télé,
Je regarde les infos,
Et j’apprends qu’en Vendée,
La mer a tué très tôt.
Que dans l’hémisphère sud,
Un glacier a cédé.
Et que cet hiver rude,
Est loin d’être passé ! !
Je me dis tristement,
Que la terre est fâchée.
Qu’à force de la polluer,
Elle se venge méchamment.
Souviens-toi l’ouragan
Qui toucha l’Amérique !
Ce pays si puissant,
Vivat ses temps tragique.
Mais bon la faute Ă quoi ?
La mondialisation !
Un troupeau d’abrutis,
Qui polluent l’horizon ?
Fais construire ta maison,
Ce n’est pas inondable.
Tu l’auras dans l’oignon,
Quand flottera ta table.
Sans compter la misère,
Que la terre doit subir…
Faut perforer en mer,
Car l’or noire fait détruire.
A coup de dynamite,
Juste pour quelques diamants,
Ou de l’or en pépite,
On détruit sauvagement.
Cultiver le coton,
N’est plus vraiment rentable.
On préfère le nylon,
Pas toujours recyclable.
Je ne suis pas Ă©colo,
Car je pollue comme bien des gens…
Mais la terre souffre, passons le mot.
Essayons d’être intelligent.
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C'est toujours celui qui n'a plus rien qui est prêt à tout donner... à méditer.