Trop long silence . . . Dans mon prochain recueil Traces Temporelles 70 Pages.
Trop long silence . . .
Amour d'une beauté aux fragrances exquises
Etonnée de paraître en une fleur soumise
Tu es née à l'aurore au souffle d'un matin
Tes élans m'envoûtent en un rêve sans fin.
Oh ! Ton miroir bleuté dans le soir qui s'irise
Et ton souvenir fuit, j'en oublierais Venise.
Reflet de l'océan dans l'habit de lumière
Ton charme invisible aux profondeurs lunaires
Se noie dans les vagues en flots étincelants
où tu apparaîs dans notre firmament.
M'éclaire tes silences, vit l'éternelle absence
j'entend sourdre ta voix en voile d'innocence
Qui volera l'ennui dans nos ombres enfouies.
Bienveillante ta flamme égarée dans mes nuits.
Pascal.
Le vendredi 12 mai 2017.