Sur la branche de l’arbre de l’hiver assis
Je sens une chaleur couler sur ma peau
Source du soleil aux fièvres fleurie
D’un amour où rayonnent toujours tes mots
Sur la branche qu’écaillent les vents
D’un présent qu’habille l’absence
Se renouvellent les rouges bourgeons
Dans le cœur en survivance
Avec ces rafales portant l’âme en transe
Autour de l’âtre des jours heureux
Au tambour des tonnerres les pensées dansent
Tes yeux fleurissent d’artifices les cieux
Sur le bord des nuages s’allument des feux
Foudre dans le rêve ressuscitée
Rencontre d’éclairs de nos esprits lumineux
Ah ! ce soleil de minuit sur nos cœurs givreux
rivedusoleil
21/8/2017
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Ah ! si seulement avec une goutte de poésie ou d'amour nous pouvions apaiser la haine du monde !
RĂ©sidence sur la Terre (1935) Pablo Neruda
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