Durant toute ma vie, j'eus le cerveau lent Il se montra raisonnable mais trop indolent Alors que bouillant fut mon pauvre cœur Toujours avide de passions et de bonheur
Bien souvent mon cœur par monts, par vaux Aurait voulu voir se promener mon cerveau Cependant pas de veine pour lui en mon corps Mon cerveau et lui doivent se côtoyer encore
Face à cette situation sans solution voyez-vous Mes jambes ont envie de se pendre à mon cou Mais ce ne serait sûrement en pure perte en fait Car où que j'aille ce problème persiste en ma tête
je prie pour que cessent leurs querelles intestines Qui me font mal à l'estomac comme on l'imagine Heureusement que n'entre pas en lice mon sexe Avec lui ces brouilles me fileraient des complexes