Ahed Tamimi
J’ai vu tes larmes ma petite
Ton regard ; derrière
Est-ce à ton père ?
Ce courage qui ne s’effrite
Ou à ta mère?
Que tu quittes
Ou au monde qui se laisse faire
Et l’oppression ; devenue rite
Ce soldat qui n’a rien à faire
Devant le petit cri de la petite
Qui ne s’entend par les mercenaires
Du nouveau monde qui se précipite
En face de l’enfant, qui défend sa terre