Seuil . . .
Seuil . . .
Au fil ténu de son abîme
Je suis vertige de l'instant.
Je me suis battu aux vagues du néant.
J'attends pour vibrer
Que souffle mon printemps.
Dans les vents je tracerai une allée de bonheur
Pour les âmes égarées.
Je ferais surgir une île de palmiers
A ceux qui ont froid
Et lever l'arc-en-ciel
Pour les coeurs en souffrance.
Je vêtirai de rêves
Les âmes plongées dans la nuit.
Que mon poème leur offre l'abri
De cette seconde d'éternité.
Bonne soirée.Bisous d'où de Paris .Pasca loup.