On défendit à Diogène Laërce de s’asseoir, lorsqu’on voulut le vendre comme esclave : « Qu’importe, dit-il, on achète bien les poissons couchés sur le ventre ! ».
ce texte je l'ai écrit sur un autre forum en réponse à une auteure qui a écrit sur la folie en s'appuyant sur des sentences qui ont dites dans les temps passés et reculés.
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Les partisans de l’injuste usent de poésie et prose
Ils distillent le mensonge goutte à goutte et par doses
Pour ce faire, ils jouent de toutes les osmoses
Pourvu que ce qu’ils clament appuie la cause
Ne les contredis pas, tu paieras de ta dignité ou de ta vie, si tu l’oses
Pourvu que ce qu’ils disent soit cru par les âmes closes
Toi pauvre ‘’con’’, tu n’existes pas, vis ta névrose
Pour envoûter les foules, de gestes adéquats ils disposent
Pour convaincre, ils usent d’aboiements, de poses et de pauses
Ceux qui les écoutent, de leurs mensonges ils les arrosent
Ils usent de charme, pour qu’ils les sclérosent
Pourvu qu’ils réussissent dans leurs plans
Ils veulent voir tout le monde en rang
Ceux contre, ils versent leurs sangs
Pour eux il n’existe qu’un seul camp
Quant à celui qu’on enchaîne dans un hôpital, et on le dit fou
C’est un malade, et sa maladie, contractée à cause des loups
Qui lui ont aplati la tête, lui ont coupé le parler, et brisé le cou
Ils lui ont nié son existence, de la vie ils lui ont fait perdre le goût
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https://www.edilivre.com/le-spleen-de-la-logique-de-l-absurde-2c490d0b23.html/