Bonjour
EvilFrank
Eridan
Luz
Joelle59
GabrielleMI
Votre visite m'a fait plaisir
Amitiés
Med
Quand tu n'es pas muni de peu d'amour
Ne passe près des roses
Maître amour te jouera un tour
Et t'injectera de fortes doses
Tu risques ton cœur, tu risques tes jours.
Rose qu'on côtoie est dangereuse
Au moins un regard passionné
Et elle est apaisée, elle est heureuse
Parfois elle peut fusionner
Un malheur quand tu la rends malheureuse
Et si une petite caresse te chante
Tends audacieusement une main sincère
Tu sentiras thym, romarin et surtout menthe
Rien ne te résiste, n'est dure la pierre
Tu es toujours comblé quand tu la sers et l'enchantes
Et lis des vers si tu es petit poète
La rose est poétesse et elle sait bien danser
Lis tes refrains, relis encore et n'arrête
De beaux yeux se poseront sur tes plaies et les pansent
En les sentant malades et maux se remettent.
Quand le froid s'installe...
Quand le froid s'installe
On perd le bonjour du soleil
Les teints sont trop pâles
S'envole la flamme du blé
Et les fortifiants n'ont d'effets
Passent les essaims d' enfants
On ne voit pas de sourires
Chauds et réjouissants
Les sympathies se défont
Rien dans les yeux n'est à lire
S'en vont loin les demoiselles
Au charme trop dissimulé
Le froid les rend moins belles
Leurs corps sont moins fluets
Ni des étoiles, ni des gazelles
Je te préfère un poème!
Je regarde avec les yeux
C'est beau!
Des flammes et du feu
C'est encore beau!
L'arbre et les rameaux
Et mieux!
Chevelure sur le dos
Rien de déplacé ou de faux
Tout est harmonieux
Mon dieu! Mon dieu!
Que c'est très beau!
Je regarde avec le cœur
Quel émoi!
Des larmes à deux doigts
Un amour qui ne meurt
Rien d'autre je ne vois
S'est fixé le choix!
Du charme et des lueurs
Le cœur bat mille fois
Et d'émoi en émoi
C'est plaisir et douleurs
Quel morceau de choix!
Je vois avec l'esprit
Je vois mille beaux vers
Un tendre écrit!
Qui vaut bien, qui vaut cher
On vole haut et l'on sourit
Les oxymores se marient
L'endroit rime avec l'envers
Un riche écrit!
Une oeuvre qui mérite des prix
Et dans mon manuscrit
Tu es un poème qui sourit
http://www.oasisdesartistes.org/modules/myalbum/photo.php?lid=2892 Taille de palmier
Il y a les étoiles dans le grand ciel
Il y a toi sur la terre
Quand tu apparais sous les étoiles
C'est la laideur qu'on enterre
Tu as la lumière dans les yeux
Vers toi ils nous dirigent
Parfaite oeuvre du bon dieu
Tu as une douce aura qui voltige
De tes lèvres arrive une rosée
Chargée de gouttelettes sucrées
Pour des terres assoiffées et à arroser
On attend de toi un élixir bien livré
Je souris devant ton sourire
Une belle aube ouvre large sa porte
De splendeur l'âme doit se nourrir
Et en matière de nutrition, tu es forte
Je sens danser le palmier beau et fier
Quand je vois ta taille élancée
Seul en toi je retrouve mes repères
Toi seule pour pouvoir avancer
http://www.oasisdesartistes.org/modules/myalbum/photo.php?lid=2751&cid=1 Le rouet de ma mère
Dans le pilon
Tourne souvent son rouet
On dirait un jouet
Parfois pressé, parfois lent
Comme le temps
Rouet magique, rouet de maman!
Danse son rouet
Se lèvent des jours heureux
Sourient des êtres preux
D'une époque oubliée
Riche en amour et en blé
Maman n'est là, le pilon n'est vieux
Et le rouet pleure
Sa déchéance et sa maîtresse
La laine habillait les princesses
Bon confort des demeures
Caresses durant des heures
Mais celles de maman ne renaissent
Le rouet raconte au pilon
Un cœur qui se confesse
On le blesse, jamais il ne blesse
En témoigne le dieu d'Apollon
La famille était un seul clan
Autour de maman, nœud des tresses.
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D'un prince blanc et capricieux!
L'hiver a remis son long châle blanc
Grand prince jeune et charmant
Il a la main très dure et très froide
Sont averties toutes les jambes roides
Ses ministres sont la Pluie et le Vent
Dans son vaste harem dort le soleil
Il ne le libère jamais quand il s'éveille
Et il se vêt très souvent du gris de la nuit
Le jaune-rouge de la lumière l'ennuie
Il crie, il interdit, il oblige et il surveille
Ses oiseaux sont muets et tristes
Ses lièvres perdent souvent leurs pistes
Il ne livre aucun sentiment de bonheur
Ne lui convient jamais dame chaleur
On lui mendie une grâce mais il insiste
Il excelle avec ses tableaux trop enneigés
Il sait bien séduire, il sait bien piéger
Ses avalanches ne laissent pas d'espoir
Il couvre de blanc ses desseins noirs
Et parfois il fait du mal même aux bergers
Mais l'hiver redore de plaisir les couettes
Les corps retrouvent la vie, c'est chouette
Les jambes sont si chaudes et enchevêtrées
Elles sont d'un désir brûlant pénétrées
Vive l'hiver quand les corps de corps se vêtent!
Il n'y a de victoire qui dure!
Tu m'as vaincu, alors cesse!
N'exagère ta victoire
Ne tue deux fois ma faiblesse!
C'est choir et déchoir
Un bon victorieux ne se déclasse
Tuer et déchirer la peau
C'est aller loin dans la haine
En souffriront même les animaux
Tu fais preuve de ta peine
Je vaux plus que tu ne vaux
Me tuer et boire de mon sang
C'est abject, c'est médiocre
Quel geste, quelle façon
De l'impossible même entre les ogres
Du possible pour les indécents!
Moi, je t'aurais bien consolé
D'avoir perdu une bataille
Sans que ma victoire soit oubliée
Il n'y a que la modestie qui m'aille
Possible qu'on pourrait se concilier!
Le jasmin est triste
Le jasmin pleure le blanc de sa peau
Il ne livre la fine neige de ses couleurs
Il ne s'ouvre et reste un ensemble clos
Recroquevillé sur soi comme un cœur
Le vert du jasmin est devenu très pale
Depuis qu'elle ne l'arrose de son regard
Autour des corolles il ne met de châle
Il a perdu son grand plaisir quelque part
Le jasmin ne sent plus son souffle venir
Pour inviter sa taille élancée à la danse
A peine arrive-t-il souvent à bien se tenir
Il ne sait comment reculer quand il avance
Le bleu du ciel attise le feu de son amour
Le jasmin ne peut oublier l'azur de ses yeux
Il regarde en haut la nuit et en bas le jour
Il ne se plaint pas mais il prie longtemps dieu
Le jasmin si triste doute qu'il s'appelle jasmin
Depuis que son parfum ne respire son odeur
Depuis qu'il ne se sent caressé par ses mains
Il a peur qu'elle soit séduite par d'autres fleurs
De l'eau et des larmes
Des nuages tristes
Survolent des fontaines
Où l'on a versé des peines
Les larmes ne résistent
La rosée se pose
Sur des feuilles vieilles
La sève ne s'éveille
Pleurent les roses
Se répand le brouillard
Et couvre la forêt
N'a de bout la durée
Sanglote le nénuphar
La neige tient bon
Les herbes suffoquent
Leurs poumons se bloquent
Gémissent les champs
Le vent annonce la nuit
Dans le grand désert
C'est la soif de la terre
Se lamentent les puits
Il pleure et il pleut
Dans ce tout petit cœur
Trop rempli de douleurs
Ne tarissent les yeux
..........................
Le poète passe, levez-vous!
Vous ne connaissez pas qui vous aime
Mes bonhommes et bonnes femmes
C'est celui-là, c'est le tendre poète
Vous êtes tous son souci et son thème
Levez-vous, le voici qui s'arrête!
Il vous écrit et il écrit pour vous
Vous êtes son trésor, lui qui n'a de sous
Vous êtes tous les vers sur ses feuilles
Sans le poème et vous il s'endeuille
Le voilà venir tout seul, levez-vous!
Il voit en vous tout ce qui se dissimule
Il le dit, il le détaille et il accumule
Votre peine est la sienne, et il partage
Votre amour est le sien, et il s'engage
Souriez-lui un peu, quittez votre bulle!
De vos soucis et joies ses vers se vêtent
Pour son plaisir, les rimes se soumettent
Des fois, c'est de lui-même qu'il parle
Il est Mustapha, Brigitte et il est Charles
On doit une révérence à tous les poètes!
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Je garde d'elle des photos
Elle m'a dit de vite rentrer chez moi
Elle m'a dit aussi qu'elle allait bien
Je n'avais pas à faire d'autre choix
Lui désobéir jamais ne nous convient
Je suis rentré vite voir les enfants
Elle m'a dit son adieu avec le sourire
Je n'avais pas vu les traits de son front
Il y avait sûrement un message à lire
Et j'avais rêvé d'elle dans le train
Ses yeux étaient bleus comme le ciel
Beau était son costume de pèlerin
Entre les houris elle était la plus belle
On m'a dit qu'elle s'est tant excusée
Elle aurait voulu que je sois à la gare
Son grand pardon ne m'a été refusé
Elle aurait tant voulu retarder le départ
Je suis revenu, elle n'était en attente
Couverte de blanc pour le grand voyage
A rejoint son amant la tendre amante
Je garde d'elle des photos et peu d'images
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Merveille d'amour ou l'île sans trésor
Elle descend d'un beau pays du froid
Elle n'est du tout froide
Il descend d'un pays où le soleil est roi
Le rendez-vous eut lieu là où l'on s'évade
Est née une relation d'amour tiède
Elle a appris à attiser son feu
Et lui à atténuer les flammes de son bled
Tout allait de mieux en mieux
On a goûté aux mets de l'amour juvénile
Dans le tâtonnement réside le plaisir
Sans trésor était leur île
Mais il y a le partage pour les unir
Le jour est admiration, la nuit est désir
Loin de tous les soucis des autres amours
Caresses, baisers, rires et sourires
Et la jeunesse rime avec les beaux jours
Tellement ils se sont plu et bien aimés
Ils ont donné le jour à une douce merveille
Œil bleu et œil vert et le beau partout semé
Ils la voient gazouiller et leur amour s'éveille
.....
De bout en bout
En attendant cet instant fugace
Je t'approche, je te caresse
Seins et tresses
Dos et fesses
Rien je n'oublie ou laisse
Je te place et te replace
Et je t'enlace
Tous deux on se déstresse
En attendant cet instant de charme
On se pâme
On se désarme
En premier la femme
On s'apaise, on se calme
Sur nos corps on rame
Avec de fines lames
Sans refus ni blâmes
Circulent les mains
On oublie hier et demain
Charme maint
Tien et mien
Au masculin, au féminin
Sont beaux les teints
Rien n'est vain
On retarde la fin
Et vient l'instant longtemps attendu
On est les deux détendus
Rien n'est défendu
Caresses rendues
Bras musclés, bras dodus
Mon corps sur le tien tendu
Organes tordus
Les eaux ne sont perdues
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Dimanche de Jouda
J..Jour J venu, nous voici réunis
O..On fête l'amitié sincère
U..Un jour passé dans le même nid
D..Des années hors paires
A..Avec le cœur qui ne bannit
Etudiants et professeurs
Appelés par un seul toit
Et vibrent l'esprit et le cœur
Le corps rajeunit, l'âme verdoie
Sont loin jetées les douleurs
Fusent les discours chaleureux
Partout dans la salle
Tout le monde est très heureux
Aucune mine n'est pale
Tous sont de rire désireux
J..J'ai vu mes petits trésors
O..On s'est remémoré la classe
U..Une vie a défié la mort
D..Des esprits avouent et se confessent
A..A tous un bisou pour l'effort!