Nul ne peut retenir l’écume
De la vie au creux de sa main,
Mais distiller sa jeunesse de cœur
Sa tendresse et aussi sa douceur,
Permet à celui qui reçoit
D’augurer pour ses lendemains.
Alors du fond de la brume
Surgissent des cris de joie
Aussi, sourire aux lèvres et cœur ouvert,
Je viens à chaque nouvelle aube, apporter ma modeste obole
De paix, d’amitié et d’amour, alors que vers toi, s’envole
Le doux message de l’unité ainsi offert.
Qu’importent les orages et les ouragans,
Les émotions et les sentiments,
Résistent comme le roseau de la fable
Tout en t’insufflant une indispensable
Volupté où s’embellit, encore,
La déraison des rêves et tes atermoiements.
Qu’amitié devienne notre sort
Va chercher dans l’âme et le cœur des enfants
Le soleil, la naïveté, l’insouciance, la spontanéité et cette joie de vivre
Que presque femme, tu sembles avoir perdu, afin, qu’au fond toi ne survive
Que la grâce et l’appel d’un irréel printemps.
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Des mots contres des maux
Et l'espoir en écho...