Mon cœur langui, craint les Samedi, de ce triste Paris. Mon cœur s’alourdit, du poids de la nuit, des flammes nourries, de corps meurtris et d’espoirs trahis.
Notre belle France s'enlaidit au fil des samedis. Honnêtement je crains le pire pour demain. Une nation meurtrie, comment pansera t-elle ses blessures...
Il n'y a pas longtemps on craignait les vendredi dans mon pays. Que cesse la violence et que tous les hommes vivent dans la paix. Merci pour vos commentaires ami(e)s poètes. Charef