J'ai retrouvé la voie Benak Sur un espace ouvert M'a bien surpris le crack Par son visage découvert Benak mène une lutte Pour éviter à son pays la chute
Et j'ai écouté sa voix D'ami qui sait sympathiser Qui ne fuit, qui ne louvoie M'a surpris son Elysée Benak cherche une justice Pour amortir les supplices
Il est toujours le même Une plume qui ne tarit Sont tous riches ses thèmes Il réconforte et il rit Benack se souvient d'Oasis Qu'il juge sans vice
Et nous voici bonne compagnie En attendant un rendez-vous Sur la terre de Tunisie Je suis ému, je l'avoue Nous serons deux bohémiens Évadés, main dans la main
Il est touchant de voir que dans cet Oasis des amitiés se nouent . Ce site de partage poétique est aussi un lieu de rencontres et de belles aventures humaines, en voici la preuve. Merci pour ton émouvant partage et mes amitiés à Benak
Amitié Bises de Luz
---------------- Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu. Le DalaÏ Lama
Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran
---------------- http://poesiedejla.blogspot.fr/ Mes livres :- La faim d'un rêve, - Le masque angélique et le chemin de Pierre aux éditions Publibook… De l'aurore au crépuscule aux éditions Le Manucrit …
Je ne peux que m’incliner obséquieusement devant tant de générosité et de déférence dans une révérence tout de remerciements et de reconnaissance. Sensible, innovateur et seul comme un poète authentique sait le faire, tu as su faire parler la noblesse de ton cœur, en tissant ces mots aussi beaux que sincères. Touché au plus profond de ma sensibilité de poète vulnérable, je viens étendre mon âme à l’ombre sublime de ton oriflamme. Quant à vous ô plumes magistrales, je ne peux me défaire de vos mots si beaux qui me tiennent compagnie à travers la vie et ses sautes d’humeur. Dans l’incertitude du temps qui m’emprisonne, vos mots sont les dignes compagnons de mon infortune où je lutte pour un soupçon de lumière. Mon absence n’est qu’une parenthèse ouverte dans le cadran du temps où le temps fou rameute ses heures. Il est impératif que je sois ailleurs, ma présence éphémère est prise dans les crocs géants d’un temps aux abois et potentiellement tortionnaire. Mon amour et moi sommes dans une phase critique où la moindre erreur peut s’avérer fatale. La poésie autant que le poète est en danger de ce côté-ci de la vie qui n’a plus d’arrière-pays. Mon pays qui est le mien m’habite, il épouse les couleurs de mon cœur où il pleure une immense douleur… Merci infiniment de vos mots touchants et sincères.