Ô corps absent
Sur mon rêve présent
Ô corps absent
De la beauté charmante
Qui cogne à ma porte délirante
Mes suppliques tu entends
Impassible dément
Qui se va vantant
Mon mérite gênant
D'aimer comme un serpent
Qui siffle rampant
De mirifiques chants
Louanges à l'aimé indifférent
Par son silence transhumant
Sur un irréel dépaysement
Et mon rêve tenant
Me libère défiant
De mon réel imprudent
A vouloir inquiétant
Me rendre cet instant
D'une absence qui m'hallucina
O ta beauté, ô ta fiesta
Je ne veux que
L’aimer, l’aimer, l’aimer
Quand sauras-tu me la concéder
©ƒC
----------------
j'irai par vos hameaux cueillir vos mots pour vous les offrir bouquets versifiés toujours plus beaux