Au fil du temps qui passe !
Personne n'arrête le temps qui passe !
Dont la fuite en avant à la longue nous lasse
Impossible de coller à son l'allure folle !
A ses grands pas qui nous désolent ;
Qu'un jour désespéré, on arrête de le suivre
Fatigués le laissant ; seul sa route poursuivre.
Au fil du temps et des années qui passent
A ce rythme-là nous n'avons plus l'audace
Qu'on ralentisse perdant haleine !
Tout en se traînant avec peine ;
Pour l’abandon avant la fin de la course
Ayant épuisé ce qui restait de nos ressources !
Qu'arrive pour nous le temps de s'endormir ;
La mort nous envoyant à la poussière gésir.
A cela se résume, l'existence de l'homme !
C’était déjà prévu ; qu'il aille faire un somme.
Guyh