L a légèreté du matin, frimas,
A nnonce rien de bien
S anté, si tu l'a, protège la bien
A insi le médecin, tu ne le verras point.
N ourri ton corps avec ce qu'il à besoin,
T outes friandises délicieuses n'en abuseras
E videmment, boissons trop sucrées tu fuiras.
E t si par malheur, de microbes tu es envahis
S urtout, suis la médication du praticien.
T out abus ce paye, la prudence est de mise.
T oujours porter ce masque, malgré le temps,
R ire tu ne feras si ton voisin ne le porte !
O rdonnance tu suivras
P our respecter ton prochain.
P révoyance, soin préventif, examens..
R ien n'y fait si accident il y a.
E t se protéger, c'est bien, mais pensez aux proches,
C eux que vous aimez et qui vous aiment
I ndispensable, la petite touche d'amitié qui peut,
E t qui réchauffe un cœur blessé.
U nis, nous sommes tous égaux faces aux maladies.
S anté, tu es trop précieuse pour que l'on te néglige.
E t, de médecines, tu n'abuseras point si ton anatomie se porte bien.
**poètamateur
copyright n 00052404
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La poésie réchauffe les cœurs et calme les esprits.
Poetamateur