Quand il ne reste que cette caresse sur ces cheveux Puis encore on en veut et cette tête s’abaisse Dans le silence de l’autre âme en tristesse Et on y pense...comment les cœurs s’abaissent ? Devant l’innocence, un mot, un geste amplement suffit Et si on lui sourit, il est nourri Pour qu’il affronte ce temps pourri Ce bonbon est son rêve tout petit Mais des fois il le vend, ainsi est sa vie