et ces mots qui m’ont grandi Peut-être trop vite « Toi qui es tout, qui n’es plus, qui n’es pas : peut-être seulement l’ombre de l’homme qui grandit sur la paroi de la montagne le soir. »
Nous le savons les images ne meurent pas Elles vivent d’elles-mêmes, Presque pour elles Du moins le croient-elles Et si l’Homme les regarde C’est pour elles et non pour nous Du mois le veulent-elles Pudeur de l’image Nous tous, les hommes Toi et moi Et les autres qui sont en nous Tu le sais La chambre n’est-elle pas le monde ? Pascal, permets-moi, dira la chambre Et le malheur d’en sortir Non l’endroit clos de la demeure Mais le lieu d’habitation de tout homme //