Il . . .
l ne faudrait pas vieillir. (L'Amour est plus fort que le temps.)
I luminons nos corps aux sources du plaisir
L aissons couler le temps en vagues de désir.
N ageons dans l'océan vers ces eaux transparentes
E t se sentir happé par leurs flots qui te hantent.
F iler vers l'infini, où est passée l'étoile ?
A u firmament j'ai vu l'éclat de son doux voile
U nion de nos coeurs, vibrons à l'unisson
D ans un monde de Paix au rythme des saisons.
R evenu le printemps, étincellent nos âmes
A l'horizon j'entends leur souffle qui s'enflamme.
I nvisible le lien qui nous réunira
T out ténu sur son fil où notre Amour vaincra.
P our cueillir cette fleur et chasser nos tourments
A u jardin blanc du temps sème la graine au vent
S cintillent ses couleurs sous le soleil levant.
V ers l'aurore naissante où je te chercherai
I nventer ton image aux contours imparfaits
E t le temps assassin a masqué ton image
I ndicible l'abîme, élève ce naufrage.
L ivre ce rêve fou au tunnel de l'errance
L'ombre devient lumière et baignée d'insouciance.
I nvite le galop d'un cheval qui t'éclaire
R etraçant nos courses par-delà les frontières.
Pascaloup.