D’un feu de bois
Jaillissent des flammes
Sous un ciel étoilé
Éclairer ces îles édéniques
Ces isthmes intimes
Murmurent, susurrent à l’oreille
Des terres unit par un lien
Singulier et unique
Le vent caresse ces plongeurs
Sur leurs felouques mouillés
Adonc excités et avides
Marchent sur cet étendue
Aride et volcanique
Aux abords hantés
Par des oiseaux couvants
Aux fonds marin secoués
Une faune abyssale
Poisson voilier dans sa robe
S’allie au gaterin moucheté
Orchestrer le spectacle marin
Des fous rires, sourires
Ces coraux en symbiose
Effleurent les pieds et bruissent
S’illustrent sous l’eau
Une descente théâtrale
Ce fut épique
Med Feyz
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« Quand tu auras désappris à espérer, je t’apprendrai à vouloir » Sénèque.