De lutte en lutte, dans ce cœur de bois L’air d’une sublime foi, traduit par ce Luth Qui fait sortir du mort, ce beau et vivant Suspendu au vent,qui ramène ce remord Par ces cordes en son ; fouillant mes veines Cherchant cet oxygène ; et tout il comprend À la fin, la source de chute, en ce soufisme Par excès du dit lyrisme, et encore on butte