https://lh3.googleusercontent.com/proxy/_s6GgNGAsaq2KlJr9eqYUcR2z6vpSlB1MqeuDd6nSxmCIaOR9c1YvgWAVBdPB_sm6-dHYa1kIbo9oH0kAn_gv5edWPA8jzLsjdiVJ'ose encore te dire que parfois
J'ai peur de ton ombre et c'est pourquoi
Je guéris avec les cris de la nuit des réfugiés sur le dernier atoll
Où les baleines chantent aux coraux
Et puis ils ont mis le feu à l'emballeur
D'où des milliers d'yeux assistent au traitement symbolique du foie prométhéen
Et puis je sais pourquoi
Tu es la femme de l'Arctique et parfois
Celui du désert qui nous sépare
Juste un matin quand le dernier brin d'herbe
Il sera volé par l'escargot arc-en-ciel,
Celui qui mâche la vitesse de la lumière
Et il touche nos yeux avec ses antennes archimédiennes,
Comme il est sage de garder un moment d'amour près de son cœur,
Où le fusil de chasse peut atterrir
Par les aveugles nourris par la peur des guerres pour lesquelles
Dessinez des rectangles dans lesquels les croix regardent
Qu'aucune ombre ne soit trouvée
Atlantis sortant des os de la douleur,
De l'impuissance et des mots
Ce que nous leur jetons indifféremment mais leurs coquilles soulèveront le magnifique rivage
Ce que Platon découvre par lui-même,
Seulement vous les fabriquerez à la main
En symbiose théurgique avec la déesse de la lune qui nous enseigne
Que j'ai encore le temps de te dire
À propos des amours qui avaient de la mémoire et des fleurs à une fenêtre
D'où on pouvait sentir le jasmin quand il pleuvait encore sur le sol
Avec un bruissement de mémoire
La robe du soir de la mort qui n'est pas restée indifférente,
Elle n'était pas seulement fan des statistiques,
Mais notre amour, nous savons que la mort est notre sève de cactus
Avec lequel nous étanchons notre soif jusqu'au soir où
Nous nous épanouirons inconnus au bout du monde
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