J’ai beau dire que je m’en fous, au fond de moi j’hurle.
Je t’ai déçu, aujourd’hui tu dis me détester.
C’est comme un feu qui maladivement se rallume,
Il se ravive en moi comme s’il ne pouvait s’épuiser.
Me faire mal, tu aimes ça….
Mais vas-y, surtout te gènes pas, tu es sur la bonne voie.
Les reproches que tu me fais…. Je ne les sais mêmes pas !
J’ai fais des choses et je sais même pas quoi ! Dis moi !
Jamais tu ne comprendras que je ne t’appartient pas…
Jamais tu ne comprendras que je n’ai pour toi que de l’amitié…
Jamais tu ne comprendras le mal que tu peux me faire Ă chaque fois...
Jamais tu ne comprendras que je n’ai pas tout les torts à m’attribuer…
J’ai beau savoir comment tu es, au fond de moi c’est le néant.
Je ne supportes plus ces histoires si absurdes.
Dans quelques mois, tu t’excuseras, comme à ton habitude,
Mais tu ne sauras pas, non, tu ne s’auras rien de ces sentiments !
J’ai beau essayer, c’est toujours ce même schéma sans rire :
Dedans ou en-dehors, ça se finit toujours de la même façon…
Pas la peine de tenter de se faire une raison,
Arrive un moment où je ne peux plus y parvenir…
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On a des mOts pour dire une peine légère,
Mais les grandes dOuleurs ne savent que se taire...