Appel . . .
Appel . . .
Vous étiez l'ombre et la lumière
Enveloppant l'abîme de mon âme
Qui s'était égarée
Dans les profondeurs de votre inconscience.
Je vous avais tant espérée, tant rêvée
Dans l'obscurité de mes silences
quand j'aperçus l'éclair de votre visage
Illuminer le vide
D'un souffle qui étincelait
Quand murmura l'écho de mon coeur
Résonnant de douleur
Où s'évadait
Le champ de mon horizon.
Soudain se dessina votre image
Reflétant un bonheur passé, un espoir invisible
Que je caressais dans le flou d'un miroir
Pour éblouir la source tarie de ma vie
Traçant dans mon esprit
L'empreinte d'une aurore
En des voix de caresse
Et je buvais l'élixir de leurs mots
Tel un appel au désir
Dans un corps à corps brûlant . . .
Pascal