Tu sais qu'au-delà de ce confort
Le contour de ta joue est la fine ligne de lumière
Qu'est-ce qui ouvre vos lèvres pour découvrir les mots
La lumière si avide des sons qui peuvent la faire paraître
Sur les os de mon émotion effrayée ...
Tu sais, tu en sais assez sur la fin
Ce qui en fait tout commence par,
Mais nous avons en nous ce mobile perpétuel absurde
Croyons que demain nous pouvons bruisser, nous pouvons nous épanouir
Au lieu des nénuphars sur le miroir vert dans lequel
Il nous reste l'image d'un péché,
De l'étreinte, du baiser pas d'adieu,
Du baiser perfide de la mort,
Tu sais au-delà de ce confort
Tu peux voir les blessures que mon âme t'inflige
En signe de l'élu pour porter son destin
Sur le front au-delà duquel les pensées séparent le corps
Dans des images subliminales, dans des milliers de fractales
D'où ils recomposeront nos océans
----------------