Dieu, combien de richesses as-tu éparpillé
Á traverse la bouche des rêveurs
Dans leur sang ,
Dans la cavité avec laquelle les méthodes oniriques digèrent
Le bol du succè,
Désolé je compte combien de temps on peut rester debout
Ne pas savoir où se trouve la décharge.
Quelqu'un là-bas imite si bien les anges,
Peut-être un diable symbolique et frivole,
Avec lui nous mènerons dans le défilé mondain
Devant l'enfer et là
Les fous se déguisent dans la peau écorchée,
Mes mâchoires se serrent,
J'entends comment vous embrassez la folie dans la poitrine,
Vous aimez le parfum de l'amour comme une poudre à canon
Dans les narines du destin,
Le serpent sourit parce que nous jetons les sentiments
Dans une digestion idiote et profonde,
Dieu, que je suis fou en pensée
Á qui préfère la vertu organique,
Ou les bouches stupides qui changent la grammaire pertinente
Sur les grimaces de la duplicité,
La ploutocratie a réinventé les forêts vierges et moi,
Je peigne les masques glamour pour des orangs-outans
Ils vous laissent le baiser frénétique pour socialiser par intermittence
Quand la solitude crie absurde oui !
Aux vierges anxieuses qui m'apprennent
Á sauté par-dessus le purgatoire
Ne pas voir les richesses éparpillées.
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