Vous qui percevez le sons, de mes rimes que j’avais semées,
Et de vos soupirs sur lequels j’avais nourri mon coeur,
Dès mes premières promenades amoureuses,
Lorsque j'étais en partie autre que moi-même devant vous,
J’aurais tout de même espérer trouver de la pitié,
Pour tout l’amour donné dans lequel je parle et je pleure,
Entre l’espoir inutile et ma tristesse vaine,
De ceux qui comprennent l'amour, Ã travers ses incertitudes.
Je vois clairement encore maintenant ce que je suis devenu
Un vieux conte parmi toutes ces gens, afin que
Il me rend souvent honteux de moi-même ;
Et la honte est le fruit de mes vanités,
Et le regret, de ma connaissance la plus claire
Mais j’aimais votre regard, comme la joie d’un jolie rêve.
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