Ne me pardonne pas si j'oublie
Pour fermer les fenêtres quand le vent
Il me murmure qu'il est toujours en train de mourir de l'autre côté
L'horizon dans lequel
Le soleil a allumé les feux de la lune
Ne me pardonne pas de peur
Au bord des routes où passent les cortèges
Des gens qui cherchent ceux qui sont partis
Des murs blancs
Sans rien savoir
Ne me pardonne pas d'avoir fait de mon âme un albatros même maintenant
En moi les vagues creusent avec de longs bruits
Ne pas entendre le cri d'un fou qui sait
qu'aucune promesse
Il ne peut plus s'empêcher de tomber dans l'enfer cyber
Et tellement adapté à la structure de l'ADN que les anges
Nous empêchons les lucioles de miel de brûler sur nos tempes
Ne sachant pas quelle mort nous mentira, cela nous prendra à la légère
Main droite
Regardons les océans martiens le plus longtemps possible
La dernière structure de l'ombre change également
Ne me pardonne pas d'avoir attendu dans mon désespoir
Que les centaures de la mer apparaissent dans cette dernière solitude
Courir en chantant
A ceux qui peuvent vivre
Entre le haut et le bas
Entre parole et revers,
Entre lumière et ténèbres
Connaissance
Que Dieu est le moment
Et le moment est infini

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