Te voici donc devenu procureur de jugements en je ne sais quoi, et d'un pour qui pourquoi de je ne sais qui ?
N'oublies pas qu'une cour d'honneur ce n'ai jamais sans avocats
afin de rectifier d'erreurs le trop hâtif d'un jugera.
La cour se retire Monsieur le procureur ; Il manque des pièces au dossier.
On ne peut condamner coupable sans avoir débattu des faits.
Bonne journée, Monsieur le Procureur. De cette séance levée, en dernier coup d'marteau donné, me pris une envie d'rigoler de ce scénique de cour d'auteur.
Aïna.
Dans ton dernier commentaire, tu écris : " Ces personnes décrètent et déposent des jugements sans appel sur les êtres, sans même les connaître ni rien imaginer de ce qui peut advenir dans leur destinée. "
Je ne puis qu'adjuger de cette vérité, d'approbation et de valeur première que j'annoterai d'un signant de respect
et d'un valorisant qui n'en soit pas de sens contraire de l'édicter.
D'un passant par là à petits pas feutrés pour une douce soirée...
" Je suis responsable de ce que j'écris mais pas de ce que les autres comprennent. " Aïna.
Tu dis : " de bien pauvres personnes en somme, handicapées par de piètres niveaux de compréhension, d'intelligence et d'esprit d'analyse. "
Je trouve tes propos sans raison, je dirais même condamnables si l'on suit bien ce que tu cherches à exprimer en valeur et raison. Ce me semble faire acte de contradictions de tes délivrant de textes à messages.
Parfois, il ne faut pas dépasser certains *bornages, et ne pas pousser le bouchon trop loin, Maurice.
Bonne soirée.