Citation :
terry a écrit :
*Ancien département d'Algérie
Ancienne Cirta
C'est Constantin
Qui te dota
De ce doux nom
De Cisalpine !
Reine des ponts
Déesse de l'histoire
C'est à toi que je dois
Le délire.....
De mes enchantements !
Terry
Bonjour Terry
Poème que vos émotions, à l'évocation de cette ville, rendent présente...
Ainsi qu'une grande nostalgie...
J'ai un ami qui habite à Constantine , amoureux et grand défenseur de sa belle ville...CIRTA.
Avec un groupe d'amis , il la parcourt en tous sens ....
J'ai connaissance par son intermédiaire de tant de légendes , de faits historiques ..et de photos prises avec ses amis que j'ai , vraiment, l'impression d'y être allée.
Ce que je n'ai pas encore fait, à mon grand regret , malgré de nombreuses invitations .
Je joins quelques photos de son fait mais je ne peux poster celles où il est avec ses amis.
J'espère que cela vous rappellera de bons souvenirs et vous fera plaisir..
Tous mes meilleurs vœux pour 2022.
Amicalement
Nat
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Ce sont pour la plupart des photos des Grottes et du Rhumel , des ponts....que j'ai choisies parmi d'autres.
J'en ai aussi, de L'antique ville de TIDDIS..
......
[
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Ils ont dit:
" la seule chose importante que j'ai vue jusqu'à présent, c'est Constantine, le pays de Jugurtha.
Il y a un ravin démesuré qui entoure la ville, c'est une chose formidable et qui donne le vertige."
G. FLAUBERT
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« Un cri d’admiration, presque de stupeur au fond d’une gorge sombre, sur la crête d’une montagne baignant dans les derniers reflets rougeâtres d’un soleil couchant,
apparaissait une ville fantastique, quelque chose comme l’île volante de Gulliver ».
Alexandre Dumas
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Les abris de constantine
Il y a d'abord les abris qu'utilisaient les habitants, natifs des lieux, pour se protéger des calamités, des catastrophes naturelles et des éventuelles «menaces ennemies» ou encore pour conserver certaines de leurs denrées alimentaires.
Viennent ensuite les galeries, les cavernes ou sites archéologiques et enfin les grottes.
Dans la première catégorie, celle des abris, figure celui situé à proximité du marché couvert de Boumezzou, en plein coeur de Constantine et qui dispose de deux sorties, l'une menant vers le palais de justice et la seconde s'étendant jusqu'au quai surplombant le souk du côté du lieu-dit Bab El Hamma.
Cet abri est bien entretenu et se caractérise par l'existence de piliers en béton armé parasismiques, d'où l'intérêt d'exploiter ce lieu qui a déjà servi à abriter les victimes des glissements de terrain du vieux quartier de Aouinet El Foul, grâce à ses vastes espaces aménagés en pièces et en antichambres séparées par des cloisons très résistantes», souligne M. Foughali.
Les autres abris de la ville se situent notamment à Sidi Mabrouk inférieur, non loin de l'accès est du pont de Sidi Rached, à hauteur de la place Krikri, à la vieille ville haute de Rahbat Essouf et au vieux quartier de R'cif parallèle à la partie supérieure de la rue Ben M'hidi.
Au cours de ses fréquentes sorties sur le terrain, en compagnie d'amateurs de spéléologie activant à la Protection civile, la commission de wilaya chargée du dossier a recensé plusieurs de ces «tunnels» dont les plus intéressants se situent au sous-sol de l'ex «hôtel de Paris» juste à l'entrée haute de la rue Ben M'hidi et sous l'avenue Aouati Mustapha où a été, jadis, aménagé un passage souterrain sur plus de 1500 mètres.
Reliant l'avenue Aouati Mustapha à l'emplacement d'un ancien moulin, il fut creusé par un minotier français pour faciliter l'acheminement du blé moulu, jusqu'au centre de la cité afin d'être commercialisé.
Tous ces méandres invisibles depuis la chaussée, ainsi que les tunnels de l'avenue Tabet Mokhtar, en pleine casbah de Constantine et de Bab Cirta, à l'intérieur même du marché de Boumezzou, constituent des richesses qui ne demandent qu'à être réhabilitées et restaurées pour venir renforcer le potentiel touristique déjà non négligeable de la capitale de l'Est algérien.
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Les haillons de l’amour ne se reprisent pas .
Nataraja.